À l’initiative de l’accordéonisteRodrigo Marchevskyet de l’Alliance Française de Rio de Janeiro, Messiê Forró est une création franco-brésilienne qui réunit chant, accordéon, violon, saxophone, guitare 7 cordes et percussions. C’est en juin 2017, lors d’une tournée à Rio que la rencontre entre les musiciens a lieu. Deux des musiciens du fameux groupe Casuarina, Gabriel Azevedo et Daniel Montes, sont invités à rejoindre le projet. Il est désormais difficile de les arrêter. Emportés par la ferveur du groupe, ils sont actuellement entre la France et Rio de Janeiro à préparer la sortie de leur premier album.
Rodrigo Marchevsky : Chant, Accordéon Gabriel Azevedo : Chant, Percussions Lucien Alfonso : Violon, Chant Yann Dénèque : Saxophones, Clarinette Daniel Montes : Guitare 7 cordes Cacau Moutinho : Percussions, Chant
Lectrice publique depuis plus de 20 ans, Frédérique Bruyas propose des lectures-concerts où elle invite les musiciens à créer à l’écoute de la littérature.
Elle travaille très régulièrement avec Lucien Alfonso autour d’un vaste répertoire d’auteurs classiques et contemporains pour un public d’adultes et jeunesse.
Ensemble ils ont imaginé des lectures-concerts sur des thématiques originales pour des festivals, musées, médiathèques…
Pour 2022, un Eloge du Baiser (Festival Juste Eclos/Vendée), La grande dépression : une histoire américaine (Musée franco-américain de Blérancourt) ou Des soupes au caillou (Médiathèque du Canal/Saint-Quentin-en-Yvelines) sont autant de programmes où Lucien Alfonso compose une musique originale en écho aux extraits d’œuvres de John Steinbeck, James Joyce, Jacques Rebotier, Camille Laurens, Yukio Mishima, Chritophe Tarkos, Anaïs Vaugelade…)
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mai
Médiathèque de Chatillon2 Rue Lasègue, 92320 Châtillon
Le répertoire des Klezmer Lokomotiv’ s’inspire de la musique juive ashkénaze : le klezmer et les klezmorims, musiciens itinérants qui, de fêtes en fêtes, colportaient dans toute l’Europe de l’Est depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours leurs chants profanes et danses populaires. Leur répertoire leur permet d’exprimer toutes les émotions humaines, de la joie au désespoir, de la piété à la révolte et du recueillement à l’ivresse… sans oublier l’amour.
L’esprit du Klezmer lokomotiv’, c’est la recherche d’une dimension orchestrale, de nouvelles dynamiques à l’aide du piano et des percussions, instruments rarement utilisés dans le klezmer traditionnel. Leurs arrangements peuvent sonner tels que du Schubert, du Chostakovich, tels qu’une fanfare de l’est où qu’un big-band new yorkais, tant les personnalités et horizons des cinq musiciens se mêlent.
Klezmer lokomotiv’, ou cinq musiciens récemment réunis pour expérimenter les sonorités et les palettes de couleurs harmoniques du répertoire. Sur scène comme dans un laboratoire, cette formation vous surprendra toujours, de part sa recherche, son originalité et sa fougue.
ALTAVOZ distille une musique originale, joyeuse et psychédélique, inspirée des balkans, de l’afrique, du moyent-orient et du bastringue, dans laquelle l’accordéon se mêle à l’orgue Farfisa, et la batterie aux klaxons et aux jouets.
Après avoir réalisé en 2016 son premier album avec le violoniste Lucien Alfonso, ALTAVOZ s’associe à de nouveaux musiciens :
• Pauline Willerval à la gadulka, avec de nouvelles compositions aux influences turques, bulgares, créoles, et arabo-andalouses
• Laurent Clouet au saxophone alto, avec un nouveau répertoire s’ouvrant vers les musiques balkaniques du Banat et de Thrace
C’est au sous-sol d’un café sénégalais de Ménilmontant, le Toukouleur, que se sont réunis pour la première fois sept musiciens lors de jams sessions informelles. Pendant que les clients boivent leur bissap au comptoir, de nombreux artistes sont invités à partager leur musique dans la petite salle du bas. Reggae à l’étage, free jazz à la cave…
C’est ainsi qu’est né le Toukouleur Orchestra, dans l’ambiance nocturne, festive, parfois mystique de ce lieu original. Alliage d’électrique et d’acoustique, de rythmes africains et d’harmonies occidentales, mêlant toutes les influences, l’identité de ce collectif réside dans l’énergie commune, le désir de partage et le groove pluriel du 20e arrondissement de Paris.
Autour de l’exploration des sensorialités, le dispositif « Bulles Sonores » est un projet jeune public où sonorités acoustiques et électroniques, cordes frottées et frappées entrent en résonance avec la fibre végétale.
Le tressage de sphères en lattes de bambou inspire une installation interactive et évolutive où la matière est au cœur du processus créatif. Les enfants sont invités à explorer de façon ludique la musicalité de la plante pour offrir à chaque bulle sa propre identité sonore.
À mesure que l’installation est augmentée de nouvelles structures, la pièce musicale s’enrichit. Le public est convié à s’approprier ces sphères envoûtantes afin de créer son propre univers onirique.
Des événements plus proches du spectacle vivant ponctuent les temps forts de l’évolution de l’installation.
Ateliers et actions culturelles peuvent compléter le dispositif artistique.
En 2014, l’Alliance Française du Kazakhstan commande à Lucien Alfonso une pièce pour le Festival de la Gastronomie Française à Almaty en partenariat avec les élèves du Conservatoire National du Kazakhstan. Accompagné de l’accordéoniste Jérôme Soulas, ils fondent le Kitchen Orchestra : un spectacle mêlant petit orchestre de chambre et ustensiles de cuisine en guise de percussions. Au cours de la création germe l’idée de cuisiner un plat durant le spectacle.
Le concept et le succès sont au rendez vous.
Cinq ans après, Lucien Alfonso décide de remettre le couvert en France pour un deuxième volet avec les musiciens du collectif Wopela ainsi que de la cheffe-cuisinière Elsa Magne (Camping Sauvage). L’idée étant de travailler autour des affinités entre composition et improvisation culinaires et musicales. Les goûts, les textures, les odeurs, les rythmes et les sons de la cuisine et de l’orchestre se répondent en harmonie et dansent à l’unisson.
Désormais le Kitchen Orchestra convie le public dans sa cantine musicale à douze mains pour y écouter de bons plats et déguster un voyage musical.
La soirée se déploie en trois actes musicaux et culinaires sous la forme d’un menu (entrée, plat, dessert) dégusté ensuite avec les spectateurs.
Un format des plus originaux qui subjuguera vos papilles et ouïes !
En coproduction avec le Théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine Soutenu par le CNM et le département du Val de Marne
Quand une récitante se prend pour Orwell, un guitariste pour un cochon-dictateur, un violoniste son porte-parole, un violoncelliste une chèvre-lectrice, un percussionniste un cheval stupide et courageux, un contrebassiste enfin pour un âne revenu de « presque » tout, on s’amuse à un jeu très sérieux : se poser une question cruciale.
Pourquoi une société abandonne si docilement sa liberté fraîchement retrouvée à des individus bêtes et méchants ?
Texte et musique jouent de concert pour un réveil salutaire !
Restons fermes dans nos engagements : la lâcheté est le mal absolu.
La ferme des animaux est une adaptation du roman de George Orwell pour une récitante et cinq musiciens.
Elle est le fruit d’une rencontre entre les musiciens de Wopela et la lectrice publique Frédérique Bruyas avec laquelle nous avons déjà collaboré sur d’autres projets. A chacun de ces projets, le plaisir d’allier texte et musique est allé de pair avec notre esprit commun de création et d’expérimentation des formes. La Ferme des animaux est l’œuvre parfaite pour aller plus loin dans notre collaboration, avec l’envie partagée de toucher un public plus large de jeunes et d’adultes. Les questions que posent George Orwell sont essentielles à l’émergence d’un esprit critique sans jamais lâcher l’humour, propre à ceux qui ne s’en laissent pas conter.
Frédérique Bruyas récitante Lucien Alfonso violon Michael Gimenez guitare électrique, effets Pierre-Yves Le Jeune contrebasse, basse électrique, Patrick Gigon batterie, percussions Karsten Hochapfel violoncelle, banjo Moh Aroussi Mise en scène
Quand l’accordéon fut remplacé par les musiques amplifiées dans les dancings de la rue de Lappe et les boîtes de nuit parisiennes, les musiciens du Petit Bal de Poche n’étaient pas encore nés.
Lorsqu’ils arrivèrent au monde, la vague “boum boum” n’avait pas encore atteint leur petit patelin provincial. Ils grandirent alors dans des familles où l’on cultivait encore l’esprit du bal populaire et où la valse musette faisait virevolter les cœurs des ouvriers.
Victimes de la centralisation «à la française», nos saltimbanques «montèrent à la capitale» pour expérimenter des musiques nouvelles et actuelles.
Des Balkans au hip-hop, de la musique électronique au free-jazz, de l’afrobeat à la musique contemporaine ils prennent tant de plaisir à jouer, mais ils ont compris que rien ne remplacera jamais les trois temps qui ont fait valser leur plus jeune âge.
Un violoniste, un accordéoniste, un contrebassiste, un guitariste et un batteur, épaulés, quand l’occasion se présente d’un vibraphoniste et d’un saxophoniste.
Décidés à ré-instaurer dans les rues, les pharmacies, les aires d’autoroute et autres night-clubs la guinguette qui somnole en chacun de nous, le Petit Bal de Poche fait ressurgir les chansons, les valses et les tangos que le temps nous a fait oublier. Et quand ça guinche, les peines et les douleurs sont aussitôt estompées…
Lucien Alfonso violon, chant Jérôme Soulas accordéon Michael Gimenez guitare Pierre-Yves le Jeune contrebasse, chant Patrick Gigon / Kevin Lucchetti batterie
Monsieur Lulu vit pleinement son rêve: celui de partager la musique qui, chaque seconde, trotte dans sa tête. À travers ses textes, il traduit les instants quotidiens en chansons cocasses.
Monsieur Lulu naît dans une chaumière un peu banale du Midi. Son père est chanteur populaire et disc-jockey de mariages: il grandit entre les guinguettes et les night-clubs de province. Mais c’est le violon qu’il choisira d’abord comme moyen d’expression. Il passe son adolescence dans les conservatoires en gardant en tête qu’il reviendrait un jour à la chanson. Passé la vingtaine, il prend son bourrichon et son violon à la conquête de la capitale. Après une dizaine d’années à séduire le public sur scène, dans les cabarets, les cirques et théâtres, il crée Monsieur Lulu.
Monsieur Lulu voix, violon Julien Alour trompette William Hountondji saxophone Jules Lefrançois trombone Michael Gimenez Guitare Timothée Robert Basse Adel Khababa percussions Kevin Luchetti Batterie
Poussé par un vent nouveau associant musique traditionnelle et improvisation, le groupe ODEIA joue sur la corde sensible. Et ses musiciens n’en ont pas qu’une à leur arc : vocales, frottées, pincées, expérimentales, elles leur font franchir les frontières, l’âme cachée dans les caisses leur servant de passeport.
Le bagage du quatuor, composé de musique traditionnelle, classique, jazz, free jazz, etc., est le mélange de leurs racines profondes et des souvenirs qu’ils ont rapportés des pays traversés.
Par ses évocations chantées en grec, français, italien…, ODEIA entraîne le public dans une nouvelle Odyssée où le coeur chavire sans que l’équipage s’y noie.
Elsa Birgé : Voix Lucien Alfonso : Violon Karsten Hochapfel : Violoncelle, guitare Pierre-Yves Le Jeune : Contrebasse
« Comme l’aurait dit Magritte, ceci n’est pas de la musique du Monde ».
Franpi Barriaux
« Odeia est inclassable. Une qualité, nécessairement, et un défaut peut-être pour les esprits chagrins. Il suffit pourtant de se laisser guider par la main pour voyager dans ses enceintes. C’est une sensation des plus agréables. »
Citizen Jazz
Un trio de cordes sensibles entoure une voix profonde et caressante… Sur un répertoire élégamment réarrangé et des reprises à l’interprétation émouvante, la musique de ce quatuor mène vers des ailleurs étrangement familiers !